Mon travail à l'Assemblée nationale, on fait le point 6 mois après les élections
Je vous propose de faire ici un bilan de mon action à l'Assemblée nationale sur les six derniers mois.
Au sein de la commission des affaires culturelles et de l'éducation, j'interviens très régulièrement. Sur les 6 derniers mois, je suis intervenue 19 fois pour interroger un ministre, un collègue ou un intervenant extérieur. Mes questions et propositions portent sur de nombreux sujets tels que le financement de l’audiovisuel public, l’éducation aux médias et à l’information, l’inclusion plus forte des sportifs en situation de handicap durant les JO 2024 et notamment lors de la cérémonie d’ouverture, l’attractivité des carrières d’AESH (accompagnement d’enfants en situation de handicap), l’offre culturelle dans les médias publics, le SNU, les études de santé, la tenue scolaire, l’usage de la TNT et les économies d’énergie qui lui sont associées etc. Vous pouvez retrouver chacune de mes interventions sur le site de l'Assemblée nationale ou sur mes réseaux sociaux.
J'ai également eu l'occasion d'intervenir dans l'hémicycle pour interroger le ministre de l'Éducation nationale lors des traditionnelles questions au gouvernement notamment pour rendre les carrières d’AESH plus attractives. J’ai également défendu plusieurs amendements lors de l’examen du projet de loi de finances pour 2023. J’ai notamment proposé la mise en œuvre d’un crédit d’impôt pour le soutien scolaire en distanciel, un renforcement du dispositif MaPrimeRénov’, l’augmentation de la rémunération des AESH, l’encouragement au développement de l’aviation électrique ou encore le bénéfice d’un crédit d’impôt famille pour les indépendants.
Au total, j'ai déposé 32 amendements et en ai cosigné plus de 450. Il est difficile de compter le nombre de votes au sein de l’hémicycle tant il y en a déjà eu en 6 mois. Comme évoqué dans une précédente newsletter, la composition de l’Assemblée nationale ayant changé, notre présence se doit d'être plus importante et nous travaillons souvent tard dans la nuit pour faire vivre notre démocratie.