Audition de Marlène Schiappa, secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale et solidaire et de la Vie associative.

Aujourd’hui en commission des affaires culturelles et de l’éducation, nous auditionnons Mme Marlène Schiappa, secrétaire d'État auprès de la Première ministre, chargée de l'Économie sociale et solidaire et de la Vie associative. Je l’interroge sur le Fonds pour le Développement de la Vie Associative (FDVA).

En 2018, dans son rôle de soutien au développement de la vie associative, le Parlement a fait le choix d’abonder historiquement à hauteur de 25 millions d’euros le FDVA. Ce fond a de ce fait connu une extension de ses missions de soutien à la vie associative, car il soutient désormais la formation des bénévoles au sein des associations (FDVA 1) d’une part, et de l’autre leur fonctionnement ainsi que leurs projets innovants (FDVA 2).

Néanmoins, il convient de noter que les subventions diffèrent selon les régions. Dans la région du Centre Val-de-Loire, le montant minimal alloué s'élève à 1000 euros, tandis qu'en Île-de-France, il avoisine les 5 000 euros.

Il est important de souligner que, même au sein de la région Île-de-France, les départements ne sont pas tous en accord concernant ce seuil minimal. Par exemple, les Yvelines souhaitent réduire ce montant minimal de subvention à 3 000 euros, tandis que Paris, au contraire, vise à l'augmenter à 10 000 euros. Tout cela aboutit à une situation de statu quo.

Dans cette optique, j’ai souhaité connaître l’avis de la secrétaire d’état sur la fixation d’un seuil minimal de subvention raisonnable, pour la région Île-de-France, n’écartant pas les petites associations. 

Retrouvez mon intervention et la réponse de la ministre

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